LES MAINS FROISSÉES

Starting from a simple frame where the canvas has been removed, the dancers take advantage of this recognizable shape by giving it a singular use where grace and simplicity meet each other, with the brilliance and freshness of a living tableau. This outside work is shaped as a choreographic installation, with the complicity of spectators.

Photo : Valeska G. Performers : Marilyn Daoust and Gabrielle Surprenant-Lacasse

Photo : Valeska G. Performers : Marilyn Daoust and Gabrielle Surprenant-Lacasse

Les Mains froissées : it’s a tight woven dance in which impressions, images and a body language ready to compromise with constraint. Space becomes matter to elaborate chimeras and transforms itself in front of spectators, with their participation. The piece is divided into five paintings juxtaposing in a precise order, variable according to the place and its constraints. Outdoors, the spectator must find his own landmarks and his orientation thread, the eye having to get used to the deficiency of a precise framing. Les Mains froissées lends itself to the game of adaptability by offering a multiplicity of points of view that allow the piece to be presented the day conveying the notion of body to the work without however specify what work it is, and the night she appears dreamlike and enigmatic.

CALENDAR

August 29, 2018 - Série Prince Arthur Danse, Plateau Mont-Royal, Montréal
August 30, 2018 - La Friche au Pied-du-Courant : presented by Les Escales Improbables de Montréal 

ARTISTIC CREDITS

Year of creation : 2018
Running time : from 30 to 50 minutes

Choreography : Louise Bédard
Performers : Marilyn Daoust et Gabrielle Surprenant-Lacasse
Music : Diane Labrosse
Costume and set design : Valeska G.

 

REVIEWS

Impossible de ne pas remarquer les cadres en bois, à mes pieds, qui délimitent le lieu de prestation et cette boîte en bois plus loin, avec des tissus blancs qui y sont contenus. Des «poussières» après vingt heures, les deux interprètes se mettent en mouvement accompagnées par une trame sonore qui colore l’obscurité. 

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Les gestes portés par des vêtements blancs sur un pavé sombre en début de nuit occupent fort bien le lieu et rendent le contraste fort intéressant. La suite, nous montrera, entre autres, des rencontres avec des spectateurs hors du cadre, de cadres qui seront maniés de différentes façons pour accompagner les gestes et les mouvements. 

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Ces moments m’ont permis aussi d’apprécier la force de ces interprètes face aux imprévus qui surgissent sur le lieu de présentation et de ne pas perdre le focus. Les défis du «in situ», loin de la scène sont bien montrés. 

Robert St-Amour, Sur les pas du spectateur - jeudi 30 août 2018 
Sur mes pas en danse : Un programme triple qui occupe fort bien une soirée de ma saison estivale de danse.